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THE BLONDYSHEEP
Région Ile-de-France
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Ah, Mantes-la-Jolie… ses plages... ses co-co-tiers !
Deux blonds c'est Blondy (avec un Y)
Deux frisés (ou presque) c'est Sheep
Non pas Ship le bateau mais Sheeeeep le mouton :-)
Mais attention, il n'est pas question de suivre bêtement le troupeau,
ou de proposer une musique "bateau"
Non, non, non,
Ils sont jeunes, ils sont beaux,
je ne sais pas s'ils sentent bons le sable chaud…
Mais ils ont traversé la Seine
Pour proposer leur blues sur la scène
du tremplin
On connaissait le GAFA (les géants du web)…
Voici maintenant le MAFA (de futurs, peut-être, géants du blues) :
Marius à la batterie, Audric à la guitare,
Fabrice à la basse et Ambre au chant.
Mesdames Messieurs, de la région Ile-de-France :
THE BLONDYSHEEP !
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FREE WHEELIN’
Région Bretagne
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Ah, Landerneau… ses plages... ses cocotiers !
Et pourtant tout commence en Australie
où Jean-Baptiste passe quelques mois pour ses études,
apprend l’anglais et commence à taper le boeuf dans les bars.
Retour en France, puis tout continue à l’Ile de la Réunion où,
bossant dans un magasin d’instruments de musique,
il voit se pointer un gars avec une guitare très spéciale :
un bidon d’essence surmonté d’un manche à balai avec seulement 2 cordes !
C’est la révélation du blues roots et de l’open-tuning (accord ouvert en français).
Retour en France où il joue dans quelques groupes…
puis, il y a 2 ans, tout change encore par un coup de fil.
Son dernier groupe vient de se séparer
et on lui demande s’il peut faire en solo la première partie de Tony Joe White
(une petite pensée pour Tony Joe, décédé il y a quelques semaines)…
Il relève le défi et c’est ainsi que l’aventure Freewheelin’ commence.
Mais d’où vient ce nom ?
Est-ce en référence au deuxième album de Bob Dylan ?
Que nenni !
C’est un clin d’œil à Freewheelin’ Franklin l’un des personnages
de la BD underground américaine Les Fabuleux Freak Brothers !
De la BS au Blues, il n’y a qu’un pas…
Mesdames Messieurs, de la région Bretagne :
FREE WHEELIN'
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JERRY T. and the black alligators
Région Ile-de-France
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Ah, Rambouillet… ses plages... ses cocotiers !
Et même pas le temps de se reposer au soleil avec déjà 4 albums en 4 ans.
Ce pourrait être le bagne (si l’on regarde la pochette de leur dernier disque) !
Mais ce n’est pas à Cayenne qu’ils puisent leur inspiration
mais bien du côté de Chicago, de Memphis ou de New-Orleans.
En effet Jerry en est à son 8e voyage aux Etats-Unis
avec au fil de ses périples plein de rencontres, de concerts, de jams, mais aussi…
une idée complètement dingue :
une guitare unique au monde conçue par lui
et fabriquée spécialement dans les usines Gibson à Memphis
et récupérée à La Nouvelle Orléans quelques mois plus tard !
Et dans cet instrument incroyable il y a un peu de la sueur de Muddy Waters,
de la folie de Screamin’ Jay Hawkins, de la furie de Freddie King
et tant d’autres choses encore qui s’appellent tout simplement
« la passion pour la musique afro-américaine ».
Aujourd’hui ils se présentent en trio :
Fabien à la Batterie, Nicolas à la Basse et Jerry T. à la Guitare et au Chant
et ils vont « lâcher la bête » (comme le titre de leur dernier disque).…
Pour leur nom ils avaient pensé à Black Dogs (clin d’œil à Led Zeppelin)
ou bien Alligators Blues (en référence au Delta du Mississippi).
Alors en mixant les deux ça donne…
Mesdames Messieurs, de la Région Ile-de-France :
JERRY T. and the Black Alligators !
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THOMAS DOUCET and The G Lights
Région Pays-de-La-Loire
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Ah, Saint-Brevin-les-Pins, ses plages... ses cocotiers !
C’est juste en face de Saint-Nazaire.
- Une fleur de coton tatouée sur son avant-bras
et une voix venue du fond des âges c’est Thomas Doucet (Chant et Sax Ténor).
Tout d’abord fan de jazz (ah Coltrane),
il chante ensuite dans une chorale gospel
puis dans les groupes Nomad et Soul Kays
(clin d’œil aux Bar kays d’Otis Redding).
- Amoureux du son vintage,
François Gilbert joue sur le fameux piano Fender Rhodes.
- Son frère Maxime Gilbert a commencé par la batterie
pour ensuite se consacrer à la basse et contrebasse.
- Bruno Guilbault est caché derrière ses fûts
et il affectionne comme ses compagnons la soul music
et le funk mais aussi la world music et le hip hop.
En général je ne cite pas les noms de famille
mais là c’était important car cela explique le G de « G lights »
(Gilbert, Gilbert et Guibault !)
Thomas avait bien pensé à les appeler « Points G »
mais après réflexion il s'est dit que les programmateurs
n’allaient peut-être pas les trouver !!!!
N’oublions pas Dimitri Baizeau leur fidèle ingé-son
qui est avec eux depuis le début de l’aventure…
Mesdames Messieurs, de la région Pays-de-La-Loire :
THOMAS DOUCET and The G Lights !
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KEVIN DENARD (India's Blues)
Région Occitanie
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Ah, Tarbes… ses plages... ses cocotiers !
Sa première langue fut le langage des signes.
En effet Kevin est malentendant depuis l'âge de 2 ans
et appareillé à 5 ans... mais à force de travail orthophonique
il peut enfin s’exprimer par les mots mais aussi par la musique
puisqu’il commence à apprendre la guitare à 13 ans.
En 2008-2009, Il part à la Music et Jazz Academy de Nancy
qui l’envoie ensuite au fameux Collège de Berklee à Boston
où il rencontre la crème des guitaristes américains de jazz.
De retour en France il joue dans quelques groupes
de bluegrass (avec son père), de country, de blues
et accompagne un temps le chanteur Jean Falissard.
En 2014 l’amour l’amène sur l'île de Salt Spring (près de Vancouver)
au Canada et là une autre histoire d’amour commence
avec la découverte d’un instrument indien,
le Mohan Veena dont il va devenir LE spécialiste en France.
Mais qu’est-ce (de résonnance) ah ah ?
Justement c’est une sorte d’hybride de guitare
et de sitar indien avec des cordes partout !
Et puis il joue aussi du banjo, de la Weissenborn,
du dobro, de la cigar box et, et, et j’en oublie certainement…
En trio ou en solo comme ce soir…
Mesdames Messieurs, de la région Occitanie :
KEVIN DENARD (India's Blues) !
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LIVINGSTONE
Région Ile-de-France
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Ah, Montparnasse… ses plages... ses cocotiers !
Peut-être qu’en haut de la Tour ils ont pris au pied de la lettre
les vers d’une célèbre chanson :
« Si le train va vite et avec beaucoup d’élan
On traversera d’un seul coup cet océan »…
En effet le trio ne compte pas moins de 3 tournées
aux Etats-Unis pour un total de 70 dates !
Ce qui a bien sûr apporté son lot de rencontres et d’anecdotes
entre New-York, Los Angeles (braquage à 3h du mat’),
Nashville, Tulsa, New-Orleans (ah les strip clubs), etc, etc…
Et leurs T-Shirts « Dr Livingstone - French Kiss Instructor »
ont eu beaucoup de succès auprès des américaines !
En tout cas ces expériences leur ont permis de jouer à Solidays en 2016.
Pour leur nom, en fait, aucun rapport avec le docteur
car c’est tout simplement le nom d’un restau thaïlandais de leur quartier !
Pour la musique, on pourrait succintement la définir ainsi :
Energie rock et blues hypnotique.
Ils sont en train d’enregistrer leur 3e album :
Romain : batterie
Théo : basse
Thomas : guitare et chant
Ils auraient donc pu s’appeler RTT (Romain, Théo, Thomas)
mais non…Ladies and gentlemen, de la région Ile-de-France :
LIVINGSTONE... I presume !
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